L'Union des journalistes et animateurs culturels de Guinée (UJACGUI) est maintenant réduite à une simple entité figurative. Son objectif initial, qui était de protéger les intérêts des professionnels de ce domaine, s'est évanoui et les réunions sont maintenant un lointain souvenir. La composition actuelle de cette organisation, autrefois connue, est maintenant enveloppée de mystère.
L'état actuel de l'UJACGUI met en évidence l'absence flagrante d'initiative de ses membres et de son éventuel comité exécutif. Ces derniers semblent incapables de prendre des mesures concrètes pour faire fonctionner cette organisation et lui redonner une utilité pour les journalistes et animateurs culturels du pays.
Depuis la démission « injustifiée » de son ancien président, Aly Bongo Léno, l’UJACGUI est devenue une coquille vide. Elle est désormais dépourvue de toute activité ou influence significative. Les professionnels de ce domaine se trouvent ainsi démunis face aux nombreux défis et difficultés qui accompagnent leur quotidien.
Une nouvelle impulsion est indispensable pour redonner à l'UJACGUI sa pertinence et son efficacité. Elle doit être restructurée afin de remplir efficacement son rôle de défenseur des journalistes et animateurs culturels en Guinée.
Par Sita
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